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"N'ayez d'intolérance que pour l'intolérance" (Hippolyte Taine)

La possibilité d'un "IL"

Week-end calme. Un "chat dans la gorge" me donne prétexte samedi pour rester au chaud et ne point sortir. Je fais le point de mes amis Facebook. Tiens il y en a un qui est disparu! Il a peut-être supprimé son profil ou m'a bloqué, à sa guise. Cela m'a donné l'occasion de découvrir son blog, où il montre un aspect de lui beaucoup plus intéressant que sur Facebook...
Il fait soleil. Je me dis qu'il faudrait sortir un peu, peut-être pour un ciné aux Halles et un café au Starbucks ou une bière aux Marronniers, ou peut-être juste pour rien, pour me balader dans les rues, "le coeur ouvert à l'inconnu" avec l'envie de dire bonjour à n'importe lequel, comme ce soir de février 2007 où il t'a suffi de me parler pour m'apprivoiser, mais on n'était pas aux Champs-Elysées...
Les "amis" Facebook, certains pour moi comptent, d'autres un peu moins... quoiqu'il soit impossible de quantifier l'affection comme un score de jeu video... Ah cette manie de la compétition du monde actuel, et passé aussi d'ailleurs...
Ne vivrait-on pas mieux sans cette compétition perpétuelle, au travail, en amour, au sport, et même pour prendre le matin un métro alors qu'il y en a un autre deux minutes après...? Savoir se délivrer le plus possible de l'esprit de compétition est, je crois, une des clés du bonheur...
Bon alors, qu'y-a-t-il donc comme film à l'affiche ce soir?