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"N'ayez d'intolérance que pour l'intolérance" (Hippolyte Taine)

Humains

Imaginez que vous projetiez en famille une petite randonnée dans les alpages de la Suisse des montagnes, dans une vallée encaissée et que votre voiture tombe en panne. Coup de bol, un minibus d'une expédition paléontologique vous secourt sur la route, mais, pas de bol, c'est l'accident et la chute dans un ravin. Fort heureusement, vous vous en sortez (presque) tous vivants, mais vous n'êtes pas pour autant sorti(e)s de l'auberge! Les paléontologues sont sur la trace de vestiges néanderthaliens, vestiges qui vont se révéler très récents, et même... vivants! Bienvenue chez nos cousins suisses!

Soeur S. ou "Dominique"

Ce soir, je suis allé voir le film consacré à la vie de Jeanine Deckers, plus connue du grand public sous le nom de Sœur Sourire.
Quand j'ai vu les affiches, je me suis d'abord dit, mon athéisme ayant le dessus à ce moment-là: "C'est pas vrai! Un film sur Soeur Sourire maintenant!"

Gueule d'amour

Tu es ma gueule d'amour
Je t'aime encore et toujours
Tu sembles indifférent
Mais tu es différent...

J'ai tout de suite compris
Que mon coeur tu l'avais pris
Car c'est un sentiment
Rarement ressenti avant...

Mais il semble à sens unique
Et pour moi c'est bien inique
Alors un triste ressentiment
Commence à m'envahir doucement...

Hier sur le quai du métro
Je t'entrevis et pour moi c'était trop
Je n'ai pas su aller vers toi, bêtement
Et j'ai suivi la route de mon changement...

Nos routes se recroiseront-elles?
Notre vie sera-t-elle plus belle?

Ami Discret

Tu es passé un jour de ma vie
Comme un ami, si discret
Et tu as changé toute ma vie
Dont tu restes le secret

Tu es resté le temps d'un beau temps
A coloniser mon coeur
Sans avoir pourtant bien le temps
De faire mon bonheur

Car tu es parti sans prévenir
Au-delà des rives du sommeil
Le printemps ne t'a pas vu revenir
Et je cherche le sommeil

J'ai pensé garder intérêt
Pour la vie et ses chagrins
En découvrant tous les secrets
Des langages cybériens

Mais du profond de mon âme
Monte une douleur soudaine
Et quand vient le soir qui s'enflamme
Je sens remonter la peine

Mon gars d'Lorraine

Tous ces dimanches d'ennui pérenne
La ligne bleue qu'est pas très loin
Des séparations parisiennes
Au lieu des belles amours sans fin
Parfois tu m'écris sur Internet
Tantôt tu m'aimes, ou ne m'aimes point
La pluie, le soleil, c'est pas net
Et pour moi, dire, ça ne veut rien

Je te réponds, mon gars d'Lorraine
Moi qui suis un ch'ti parisien
Tu voudrais que je te comprenne
Et te comprendre, je voudrais bien

Je sais mon amour est timide
T'as pu croire que je t'aimais peu
Mais j'avais tellement peur du vide
Que laisse le « nous » qui devient « je »

Vingt-cinq ans après

Francky, il s'app'lait Francky
J'étais fol de lui
C'était un garçon comme les autres
Mais moi je l'aimais, c'est pas d'ma faute
Même si je sais
Qu'il ne reviendra jamais

Francky, il s'app'lait Francky
J'étais fol de lui
Toutes les fois que je l'ai vu
Où regarder, je n'savais plus
J'lui ai seulement dit
Qu'il était pour moi amy

Il était dix heures du matin
J'étais seul et j'avais besoin
De parler à quelqu'un
Il m'a dit: "qu'est-c' t'as à m'regarder?"
Alors on s'est dit nos vies
On a ri, moi j'ai pleuré

Francky, il s'app'lait Francky
Mon premier amy

Premier pas

Cette nuit j'ai rêvé de Lui et j'aimerai Lui dire ce que j'avais déjà écrit sur un forum (1) le 29/09/2000, avant que je ne Le connaisse...

Le premier pas, j'aimerais qu'Il fasse le premier pas
Je sais, cela ne se fait pas...
Pourtant, j'aimerais que ce soit Lui qui vienne à moi
Car voyez-vous, je n'ose pas...
Rechercher la manière de le voir, de Lui plaire,
L'approcher, Lui parler, et ne pas Le brusquer...
Lui dire des mots d'amour sans savoir en retour
Si Il aimera, ou refusera ce premier pas...

Émotions

Comme tu es je t'aime
Tu me fais parfois souffrir
Mais tu m'aides à vivre

Non je ne pleure pas
C'est juste mes yeux
Enflammés qui coulent

Je retrouve ma solitude
Eclairée par ton souvenir
Eclairée par ton sourire

Je suis un peu dans un monde virtuel
Que tu bouscules à chacun de tes appels
Qui m'évitent de sombrer tout à fait

Le sourire de Jim, le regard de Tim
Sont soudain pâles à côté de ton image
Au centre de mon écran

Un week-end à Rome
M'a laissé l'arôme
Du manque de toi

Mico est passé l'espace d'une étreinte
Mais qui n'avait pas autant la teinte

Des "Je vous aime"

Un petit texte que j'ai écrit initialement sur le blog jevousai.me (http://jevousai.me/post/2009/02/14/Des-Je-vous-aime-s) et que je reproduis aussi sur mon blog... pour mes autres lecteurs, et aussi mes "curieux" ;-)

Y-a-t-il plus fort que l'amitié?
Vraiment on peut se le demander
Encore peut-être quelques années
Sans toi avant que je te dise "Je vous aime"

Fort est mon sentiment pour toi
Le cours du temps est passsé sous les ponts
On ne se voit plus mais de temps à autre
Revient ton souvenir différent des autres

Éloignement

Reste avec moi, mon ami
Où veux-tu aller si loin de mon amour
Même Octobre s'est fait plus doux
A la nuit tombée, nul froid ne fait
Il me semble que cette clémence
Ne fait que cacher ton absence

Faire de nos vies un chemin
Rehaussé des perles de l'amour
A tout le moins appelle-moi
Ne me laisse pas pleurer ainsi
Comme un enfant d'amour transi...
Kilomètres maudits...

(Copyleft Mianux 2000-2009 - Reproduction autorisée, sauf pour utilisation commerciale, à condition de citer l'auteur et le site - Merci!)